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artist-architect en cours de constitution d'un atelier d'architecture sociétale ...

samedi 24 janvier 2009

en ces temps de propagande de la jouissance économique...

en ces temps de propagande de la jouissance économique...
Evolution d'abord

c'est surtout agaçant de savoir que certaines régions sont moins "attractives": cela signifie que si nous y voulons des bons médecins, ils doivent eux-aussi, y trouver leur compte ... (de vie) ... 

médecine est-ce de l'ordre du sacerdoce ? est-ce une tradition ésotérique de classe économique ?

Prenons la question à la base: pourquoi voulez-vous devenir médecin ?

Nous retrouvons partout cette question du sens de la vie que notre finissant système s'évertue à définir comme étant le bonheur .. (?) Mais comme ça n'a pas de saveur et que c'est du tout ce qu'on veut, personne (en général) ne sait ce qu'il veut au fond. Moi, je voudrais enfin que tout le monde fasse et aille dans le sens qui est en lui, son inclination, sa réussite facile, ce qu'il sait au fond de son coeur -      ...

  • numerus clausus... c'est comme une norme européenne: ça s'applique de loin sur des statistiques et des prévisions qui se plantent .. (alors que ce soit effectivement les régions qui sachent ...et le déterminent, et pour les régions à grands espaces... que la priorité reviennent aux communautés de communes qui pourront évaluer leurs besoins de proximité. les échos divers et rumeurs seraient interessant à relever (parmis les étudiants mais aussi parmis les pro...) . Ainsi que de savoir les facteurs d'attractivité.
  • gestion régionale... c'est un peu aussi la difficulté de répartir des étudiants de partout, et de Paris... qui détermine des "cotes" de qualité de "postes" de médecins... vers des postes choisis ou non !
  • il y a un plan simple: Où se situent les besoins actuels ? ceux pour dans les 2 ans ... puis après ... ? avec les évènements, des pics (ex: babyboom, puis papyboom, guerre (?),épidémies(?) ...
  •  
  • alors ne devrait il pas y avoir un corps de médecins "volants", dans le sens qu'ils se déplacent d'un territoire à un autre (un peu à la militaire .. (et oui , nous avons une armée de médecins... contre les maladies de nos jours...( enfin, encore...). C'est un peu dur à dire: cette profession est nécessaire et s'il n'y a pas assez de personne, il faut bien faire des choix "quasi-ignobles"... de fermeture de services utiles, mais à trop peu pour le parapluie de "sécurité":  donc former des médecins "élites" comme des commandos (et je ne parle pas d'urgentistes) mais de "nomades", bien traités, accueillis, dignes et reconnus: quels atouts ? pour eux, quels intérêts ? ... il va falloir un peu les attirer dans ces espaces pour eux négligés: résidences proches des lieux agréables des centres villes par ex.
  • groupement de médecins: mutualiser leur administration, abaisser leurs coûts d'assurances ., leurs frais d'équipements. 
  • ... la liaison médecin de famille (s'il pouvait être un peu formé en psychologie aussi , le minimum) est cruciale... 
  • s'il faut conserver encore ce système basé sur la" valeur" d'un service et non sur son don, alors oui, il faudra trouver des paillettes et des trucs attraillants pour tous... un confort, une rémunération.. et dans ce cas optimiser, enfin , les solutions existent... ce que j'en dis c'est qu'elles sont "usées" et finalement apportent une misère d'échanges (la rémunération devient le contrat au lieu de la qualité et de l'accueil !)

 

voulez-vous aussi que j'organise un wiki ou un espace de récupération des textes là-dessus...afin de solder la saveur de vos compétences de gestionnaires et experts en environnements hospitaliers-médicaux ?

il nous faut organiser:

  1. non pas un sondage mais un questionnement de ces médecins.. et d'abord les étudiants qui vont sortir...un à un pour savoir surtout ce qui les orientent, comment sont possibles leurs choix et ce qu'ils perçoivent du système...
  2. mettre à plat le système actuel... pour le modifier avec ses acteurs... y a bien un moyen d'y voir clair sur un plan général puis par besoins par région... enfin ce doit être abracadabrantesque (aarff) ... mais là je parle de réunions élargies et non de petits comités qui font la loi dans le milieu...(c'est toujours la-même chose: quelques uns auraient la science infuse et tout le monde suit !) ... collégialité et débats sous controle de vigilants externes au système (interessés/congniticiens/logiciens/développeurs/architectes... autre métiers à réponses globales....
  3. quoi ? où ? à qui présenter les résultats de ces questionnements (je ne dis pas sondage ni enquête... j'aime bien que les mots soient prudemment choisis)
  4. résultats ---> des synthèses de ce qui fait loi et moteur, dans les amphis, les lieux de réunions des médecins et futurs médecins, présentés à ces mêmes personnes "interrogées" - dialoguées + amitiés démocrates ...
  5. ce qui tombe dans une logique, époussetée des relents du système doit bien avoir aussi une valeur d'orientation non ? - mettre en avant non pas les "soucis" du système mais bien ce qui est le fond du système "au mieux": au départ: soigner des malades... tout en gardant à l'esprit les diagnostics précoces... déterminer ces besoins fondamentaux (ils le sont surement déjà...)

Et comme d'habitude, si nous n'intervenons pas (qui a le temps...?), ce seront encore les professionnels entre eux qui choisirons leur façon de nous "rendre service", de nous soigner, de se rémunérer parfois grassement (?) ... Il serait important en effet que nous , patients ayons aussi notre mot à dire ! ... quand je pense à diverses expériences en clinique ou urgences...j'en frissone encore ! 

donc à suivre de près ...


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vendredi 23 janvier 2009

Ou comment se laisser aller ... quelles concéquences futures ???

J'aurai pas du être si fatigué, ni boire ... FB : manifeste européen , en platitude marquée...
Laurent Puissant a écrit
à 23:41
plates illusions, je vais enfin dormir: le monde ne change pas il se solidifie. Je saurais qu'il ne se transformera qu'avec un choc terrible: une prise de conscience massive de pied du mur ... la solidarité inclue la misère, elle l'a suppose à ses côtés, je serais aveugle... mais les termes thématiques de la politique sont de plus en plus cloisonnant. la croissance est une mesure qui ne se préoccupe qu'en infime facteur, le bien vivre de l'humain. Le durable a maintenant pris toute les couleurs de l'industrialisation de nouveaux produits, mais sans utilité pratique, sans moyen, qui les achètera ?
Heureusement, le système a son arme de poing: le crédit ! ... décourageant vraiment...
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Laurent Puissant a écrit
à 23:33
L'idée séculaire était de préserver des emplois, coute que coute, de croire que l'économie résoudrait l'ensemble de nos soucis matériels... Mais la "sur-taxe" des chaines vivantes n'a pas réussie à maintenir quoi que e soit, les plus mal payés (et on est descendu assez bas pour que certain commencent à prendre un 2ème boulot d'artisanat industriel... mais ce qu'ils gagnaient en argent, ils ne pouvaient le dépenser en remboursement, ni en biens de consommation: pourquoi 2 TV, 2 paires de bottes ? 5 manteaux ? ... mais le pire fut encore la vigueur à maintenir le marché de l'automobile... une bien grande roue de cette économie pourrisssante: les politiques étaient incapbles de proposer aux industriels une vaste coordination pour un véhicule partagé...non, les viexu démon du véhicule individuel, des espaces clos restait l'objectif pour tous. Nous étions passé au "tous indépendant", mais la rengaine était le "chacun poour soi" ... nous avancions vers la misère ...
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Laurent Puissant a écrit
à 23:25
Un jour j'ai perdu l'envie d'être fou... quand j'ai vu que c'était un comique en société...
Je voulais vivre en société, partager et avancer des solutions que nous étions convenue de chercher durant les 2 semaines à venir. Cela fait maintenant 3 mois que les gr^ves successives ont totalement paralysées le pays, ... les pays... les transports en rade, les autoroutes constamment sous patrouille armée. Notamment lorsque la régie logistique de Rungis n'a plus été capable de fournir tous les habitants de la couronne 3 ... Le manque d'aliments c'était pas une blague, à partir du moment où il n'y avait plus personne pour faire le convoyage à des sommes raisonnables, la pénurie a gagné. Il ne fallut pas une semaine pour voir des voisins se réunirent pour proposer un grand potager commmun... en plus du boulot (quant il y en avait encore)...
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Laurent Puissant a écrit
à 23:15
Je cherchais un manifeste, je ne vois que des points généraux qui sont des platitudes habituelles, des mots... Je vous invite à vous pencher sur une méthode trouvée par hasard, qui concerne la mise en pratique de nos idées: la recherche-action: http://recherche-action.fr/pages/portail/questions-frequentes.php#question_3
c'est l'une des plus concrète méthode sociétale que j'ai pu lire ... quant à la fin je lis croissance durable et solidaire... je frémis en ayant cru lire de l'UMPS ...la croissance est un indicateur de bonne santé du système, en aucun cas de la société ! durable croissance et faire croire que le "marché" est un mécanisme compris et régulier (???) quant au solidaire il s'attache à "mettre au pas du régime".
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Laurent Puissant a écrit
à 23:05
La plupart de ces points sont entrain d'être mis au point dans des programmes régionaux ...
le 5 ? c'est le point "blague de gauche" ... qui est effectivement lLE moyen de rcontinuer sur une voie très (trop) similaire à celle actuelle: cela ne change pas la méthode mais les ingrédients (produits verts) cependant ça va affecter tout de même la qualité... d'où aussi accentuer encore le gouffre de notre économie à bout de souffle... Plus profondément il faudrait réfléchir, aller plus loin dans le détail... et oui, trouver les éléments d'étayage pratique de notre société, afin de passer à une économie d'échange (non plus basée sur le profit exhubérant (se sucrer)) ... oh et puis ... à suivre ... marre de tout ça .. ça viendra comme ça pourra..., juste retrouver la parole publique et le front de proposer autre chose--- je suis confronté à la difficulté d'expliquer un système qui serait possible only if qu'il y ait une réelle remise en cause des routines

mercredi 21 janvier 2009

En fait, il faudrait un peu mieux s'expliquer

suite à grenelle de l'éducation...

Le gros du conflit c'est les suppressions de postes, et du travail en plus pour des enseignants... puis ... d'autres parties sont concernées, lesquelles ?

D'abord si l'opinion pouvait comprendre cette "réforme" ce serait bine: est-ce une manoeuvre bassement politique pour pouvoir influencer les programmes, les idées, les profs ?

Est-ce de la destruction de culture (de la culture du fonctionnariat et d'une éducation "gauchisante" (?) ? est-ce une réelle avancée, mais alors quoi de mieux ? Comment ? mettre des sous, et des gens en général, ce sont les 2 solutions... mais ça c'était avant, ... maintenant on en est tellement loin, qu'il faut que les parents s'impliquent dans l'école pour aider à l'étude: ex: une maman fait un "cours" d'art plastique(oui, elle est sélectionnée sur ses compétences, vérifiées); à 15 élèves, tandis que la prof booste le reste de la classe, un peu trop lente pour suivre... et on arrive à des résultats encourageants, voire spectaculaires.

La réforme d'une éducation est un point crucial sur les mentalités... quoi qu'on en dise, le discours d'un prof, au fond est toujours ressenti par les élèves. Le système les incarcère au maximum (educ nationale!), il faudrait commencer par cette formation, avant de s'attaquer à la production, ce sont les cadres sup qui devraient être visés... les "inspecteurs" qui briment ne manquent pas... Ou est la police des polices dans ces services ?

L'éducation est entrain d'être revue, comme avant,...pourtant les possibilités de formations, de supports, de découvertes sont décuplées. un grenelle ? demandé et monté par des civils, oui, pas par un gouvernement: celui-ci ne fait que contraindre à son reflet, non à l'apprentisage de la liberté et du partage, mais à l'exclusion, à la sélection, à la guerre traditionnelle des classes, à une culture de l'appauvrissement par le passé et le poids de l'histoire...

Nous sommes maintenant, et c'est dans cet ère nouvelle que nous devons trouver des méthodes d'ouvertures... la culture est globale, l'éducation est encore un meuble à tiroirs... !

la problématique Darcos est de savoir encore une fois pourquoi le gouvernement nous détourne sur ce sujet ?

Parce q'un feu (classiquement allumé comme celui-ci cache à l'évidence, en période de  fêtes, un évènement bien plus grave ? l'audiovisuel ? l'Afghanistan ? ... l'effondrement du système capitaliste mondial ?

Ils se marrent, à n'en pas douter là-haut les élus !

C'est dire combien l'éducation est peanuts pour l'économie, mis à part former des "ouvriers" intellectuels que l'on mettra dans des batteries de recherche au seul plaisir d'une nation (notion éculée...sauf pour les gouvernants...)...conflits des générations, presque pantomimes de démocratie. C'est lorsque les "jeunes" se seront organisés autrement que leurs ainés, que là , oui, nous pourrons enfin nous dire que les choses ont évolués...

mardi 20 janvier 2009

Evolution d'abord et mettre en culture le bon sens de la vie


Evolution d'abord

Et bien vu aussi !

Oui, ce que vous décrivez est l'exacte stratégie dans le corps des conservateurs (vous en êtes un malgré vous...): Ce que voudront les oligarches, c'est que rien ne change, que les choses restent aussi nécrosées qu'elles le sont actuellement... c'est une socitété de l'imaginaire futuro-industrielo-catastrophiste tout linéaire "au main d'un parti fasciste ...". Les partisans de l'économie vont miser sur du Keynes, de la reprise de l'Etat régulateur, de la relance par les grands travaux !

Mais on marchera toujours sur la tête des humains (ou à la chinoise rouge) ! Par exemple, le fait de préserver des emplois qui sont "obsolètes" ! Nos gouvernants n'ont d'autres jugeotes que de conserver leurs profitables pouvoirs et places dorées ! ... Et c'est cela qu'il faut absolument contrecarrer (d'ailleurs F Bayrou s'est détaché de cela) ... Même la politique menée actuellement sur l'Europe sera un gouffre (de misères) si elle est mimétique de la politique américaine ! Nous ne pouvons plus acheter des ordures ! ... pour l'exemple, les voitures, c'est bien, mais il faudra songer à des véhicules plus collectifs, moins encombrants, circuler à plusieurs... Tout est à modifier, à remettre à plat !  Cela ne veut pas dire des voitures à pédales ;-)

                     Nous sommes plus que dans une transition, car cela va crescendo (et trop vite par effets communiquant) ... vers une rupture sociétale ou vers une stupide révolution, vers le retour à la garde arrière et planquée: je veux parler des syndicalistes et de leurs liens politiques - d'une propagande vieillarde ouvrière conservatrice ... issue de l'acculturation progressive des "mains d'oeuvre", par nos gouvernements successifs ( réussir un peu mais pas trop...savoir ? juste dans son domaine...) Ces "foules au charbon" ont toutes les cartes pour PRESERVER aussi le système, ils y sont nés, ils sont pour, et en tire des profits énormes (les syndicats ...) !!!

... non je ne tire pas sur les syndicats en eux-mêmes, non plus sur leur quasi-monopole du bon rôle, du positif social, sur le fait qu'il est super positif que des gars se trainent (y sont mis de côté) dans des boites pour batailler, négocier, trouver des avantages pour tous les salariés de la boite ! ... c'est dingue le boulot social qu'ils ont abattus ! et je dois les en remercier pourtant... sincèrement. Mais ils font partie d'un corps déliquescent d'un système outrageux; et ils comprendront qu'une autre façon de fonctionner ne les remettra pas en cause historique. Et qu'lls font partie sans doute des personnes les plus actives de notre société: ils sauront trouver de nouveaux "combats" (leur mode intrinsèque d'avancer), pour édifier et aider dans les solutions vernaculaires qui vont se mettre en place coupant avec un centralisme abandonné à lui-même.

Mais, les syndicalistes et les meneurs opportunistes de foule, appartiennent à une caste similaire (statique et implantée, cruciale (voir le côté "majorité/opposition" binaire de Sarko) à celle qui nous gouverne. Ils ont à gagner de cette crise, parce qu'ils ont toujours travaillé dans ce système. Et qu'ils ne le rejettent pas (pas encore, bien que... !)! ... ils regardent comme les banquiers, les grosses boites et les politicards au maximum au bout de leurs lorgnons ! à 3 ans maxi ... Ils n'ont aucune idée (j'exagère sans doute) d'une société future et d'une vie autrement réglée par le travail (pas le temps d'ailleurs) ! ...! et son relicat de retraite (qui ne pourront être payées de fait !) ...

Qui bénéficiera au final de ces mouvements sociaux ordinaires et quasi-organiques du système capitaliste dans lequel nous sommes ?    [la grêve - la revendication - le sacrifice...] .. pas le citoyen lambda ! ... Pas vous, pas moi !

Nous devons porter notre regard vers ce qui est l'univers humain, vers notre nouvel environnement, "épuré" des profiteurs à courts termes, des gadgéteurs, des solutions brevetées et fermées ! C'est bien sûr dans l'esprit humain conservé, de survivance, de notion de concurrence et de batailles (la guerre fait partie du système..mais de moins en moins.. )

                                               Nous devons voir plus loin, plus profondément ! ... des signaux ont été lancé, de la part de grands administrateurs/PDG, élites eux-mêmes qui ont quittés leurs postes pour aider les autres dans des ONG ou des entreprises plus "humainement saines": C'est dans ces voies que nous devons creuser. D'autres signes sont positifs: les technologies d'apprentissages, de formations, le web2, les wikis ... les DIY et howtos... l'équilibre précaire de l'emploi à pourvoir, de l'épée des sacrifices des salariés est pratiquement altérable si nous ne rentrons pas dans le jeu (rouages d'enrôlements au lieu d'acteurs vitaux) du système ! 

Quel système serait donc plus efficace ?

  1. Et bien celui de votre intuition, de votre passion, de ce que vous souhaitez faire et envisagez pour la vie de vos familles, la votre en grande partie !
  2. C'est un peu le même que l'actuel, avec un décallage vers le bon sens et l'oubli du profit, mais partage - open-source - collaboratif - mutualisation - sens sont quelques termes aussi précis que green - sustainable, nous sommes dans un monde technologique, qui a tiré ses forces de l'innovation, mais qui a bafoué l'évolution par des robinets ouverts, des fuites pour quelques uns ... Notre démocratie elle-même issue de révolutions socialo-industrielles est un pétrin en cours , le bon pain est pour demain, et c'est donc très bientot !

La techno-science soumise aux pouvoirs (lobbies/politiques/brevets) a créée des artefacts de bons produits, mais hélas souvent dans l'optique du provisoire et du renouvelable obsessionnel, sans tenir compte des matières premières ou même du sens interne...ni du symbole...

C'est la profondeur de notre société qui est en cause: nos flottons ! ... Beaucoup d'actions n'ont pas de sens (préservation d'emplois stupides, de mode de transmission, de gouvernances, de lignées de vie, de mécanismes économiqus (pseudo-science!)...etc):

  1. Ouvrez les yeux non sur ce qui est mais ce que vous voyez en vous ! votre intuition, votre imaginaire sont la clé, le guide objectif pour tous..

Nous devons redonner un sens à ce que nous faisons, et ce n'est pas d'aller au boulot stressés et plein de haine pour le collègue ou pour le voisin qui va aider à cela: ceci est l'illustration forcée des incarnations fondamentales du système actuel ! - caricatures oui, mais faits réels aussi !

Nous avons à retrouver le Sens de la vie (et ce n'est pas le bonheur par la richesse !) !

Un court instant, j'ai cru précher (!) , un cours instant j'ai supposé utiliser des méthodes de management de foules... vous pouvez trouver dans les médias actuellement des mea-culpa, des procédés et méthodes douteuses devenir transparentes, se révéler, se montrer:

  • c'est le temps de savoir, de la vraie connaissance du milieu humain, non de celle de nos dirigeants (qui ne sont plus depuis longtemps des élites !): il faut faire place à ces chercheurs en science fondamentale, à ces artistes du profond, à ces philosophes (bien que ceux-là pratiquent l'histoire argumentée pour leur propre système.).A ces bénévoles qui sont près de nous ...qui font gratuitement ce que la "société légale/gouvernementale" ne fait plus - a abandonné faute de moyen et de "productivité/rentabilité" ...

Pour mettre en pratique, nous allons mettre en place des entreprises ouvertes, libres et collectives, collaboratives et à rémunération juste, au pro-rata des besoins et de ce que chacun est capable de faire ... non pas à la résistance et à l'ancienneté dans le système d'entreprise traditionnel, mais à la création des bonnes lignes de comportements qui s'ajoutent à nos fondations sociétales.

Je ne voulais pas écrire tout cela, mais ces propos convenus mais éclairants et de très bonne optique me sont parvenus comme un signal à dire

                                    ATTENTIONce n'est pas ce système dans lequel nous vivons qui est à préserver,

mais bien la re-fondation des bases humaines: cela va aller très vite aussi, c'est pourquoi chaque remarque doit être comprise et "martelée":

  • soit nous avons une révolution (prétextes et répressions) qui ne changera rien à la donne de départ: la création d'emplois supplémentaires n'est pas le but, c'est le besoin qu'ont les humains pour vivre bien qui est en jeu 
  • soit nous faisons des efforts pour savoir dans quoi nous vivons, qui tire les ficelles, quelles sont les logistiques et stratégies actuelles ? et le système monétaire devient un réel moyen d'échange et d'investissements et non de profit. Nous trouvons des solutions de maintenir en vie nos voisins par une industrialisation douce et démocratique de nos équipements, par le renouveau de l'architecture, par le partage des idées, sans polémique ni recherche du spot publicitaire ... et ce qui nous parait utopique va devenir doucement applicable, car nous en avons les intelligences et stratégies: ouvrir les esprits à une humanité évolutionaire !

 

en bref, je suis artist-architect (DPLG, si ! ;)), je parle comme j'te pense, je parle trop vite ... mais je tente de me faire comprendre, je vais tenter d'ouvrir des ateliers incubateurs libres d'explorations architecturales et urbaines afin de me concentrer sur ce que je sais faire... Et à la base de ces ateliers, il ya 5 à 15 ans de réflexions-tentatives-essais-concepts...! - Proposer que des sessions d'enseignement de notions d'arts et d'architectures puissent s'appliquer et se nourrir de vrais besoins... échapper à la promotion indélicate; et favoriser la promotion de quartiers humains...mettre en place des processus de prototypages et d'auto-construction, de vernaculaire industriel...etc

Chacun doit avoir les outils de son environnement, cela me parait fondamental. si vous voyez des points critiques et d'autres remarques, dites-le moi sérieusement, je suis à l'écoute...

compte de Rudy duboille supprimé, un picard à la rue !

Et c'est en effet scandaleux ! Mais tu parles aussi d'autres groupes... extrémistes (?) ...pourra-tu m'envoyer quelques exemples ? Il faudrait vraiment que nos développeurs français fassent un facebook-like... avec reprise du compte FB ... c'est possible, il faudrait juste motiver ... pareil lorsque le système officiel se plante, des systèmes parallèles se mettent en place.. hélas trop confidentiels... voirPéP pour la base ... A savoir aussi que FB était au bord de la faillite y a pas si longtemps .. (et je crains que ce ne soit le cas ...)---mais sont potes avec Obama et goog ... auront des crédits factices... Bonne reprise ! LP

lundi 19 janvier 2009

du rêve et des êtres "influents"

... bon je me relis un peu... je reviens sur ce que disait Solange,le rêve éveillé... en fait à force d'y repenser (héhé le re...) et bien , je suppose que je suis souvent en état de rêve partiel (très limité mais qui conserve les morceaux de visions et de rêve même en étant éveillé. Mais qu'aussi Grégory a une remarque juste, puisqu'il s'agit aussi de "rêves" qui désignent un fait réel ou qui pourrait se produire... J'avoue que vos réponses recalibre ma question, et que cela me force à y voir plus précisément: en fait, je rêve pour et vers des objectifs réels... ces rêves sont des sortes de "fausses" prises de risques, des étapes, des évaluations visuelles et hypothétiques ... qui se cumulant à la réalité deviennent des supports à objectifs réels. C'est ma façon de penser en fait.. je visualise extrêmement... (c'est ainsi aussi que je peux me planter si j'ai oublié un morceau du "jeu")= la réalité de l'application me rappelle plutot à l'incompréhension, et à la différence existence irréel et applomb d'une réalité ordinaire. Mon principal moteur est de mettre les 2 champs à égalité. et par ailleurs, je dois souligner que je n'ai jamais encore vraiment su ce qu'était la réalité mis à part des moments d'incompréhension et de souffrances d'action ("ça ne se fait pas ") ! --> le rêve nocturne est légèrement plus automatique et généreux lorsque je ne cherche rien... que je ne m'oppose pas à son déroulement et que je laisse aller: mais il est vrai que j'ai pris souvent le parti de "maîtriser" la direction du sujet, c'est donc souvent et graphique et hyper-réaliste.. mais rarement avec des envolés ou des invraisemblances du type saut par dessus une ville... Je colle donc à la "réalité des yeux" même en rêve. --> je parle donc bien des rêves nocturnes qui "profilent" un désir... tiens avec tout ça , je testerai l'abandon et la non-objectivité, peut-être me suis-je un peu trop contrôlé? .... pour ce qui est du sub-conscient: je garde en hypothèse que ce sont des êtres subjectifs qui nous influencent, tandis que l'inconscient est un relicat qui se modèle de notre cerveau commun (avant de le personnailiser (une base universelle proto-humaine)) ---> je parlai de patience parce que de penser un rêve qui doit se réaliser comporte de longues différences d'avec la réalité: je pencherai pour une synchronisation avec mon rêve (qui est assez synonyme d'un désir (!)) j'ajoute dans les "biais" de mes cerveaux, que si je suis influencé par une bonne idée, elle se focalise et devient un objectif... tout le reste tourne alors autour ! --> pour revenir à la question, je parlai effectivement de prémonition puisque vous rêvez d'un évènement et qu'il se produit, mais de prémonition proche du désir que quelque chose ait lieu (vous le rêvez et cela arrive): là était ma question... La différence d'avec la prémonition est dans le désir alors qu'un prémonition est autonome et sans votre volonté (voyance ?): des images du futur arrive mais vous n'y pouvez rien et elles n'ont rien à voir avec vous parfois (medium)... je crois que je tente d'éclaircir cette idée que les rêves sont des "histoires d'influences vers la réalité" et que si je peux y intercaler mon propre désir, cela va se réaliser (d'où l'idée d'extra-conscience actuellement définie comme subconscient...): nous serions les "jouets" d'autres êtres (qui eux-mêmes sont sous influence) et notre destin n'est autre qu'un jeu de carte, et nos desseins les limites que nous nous imposons.... ! d'où ma recherche de contrôle du rêve permanent...CQFD

dimanche 18 janvier 2009

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